Les méreaux de communion protestants
On appelait "méreau", le jeton dont chaque fidèle protestant, qui désirait communier, devait se munir auprès de l’Ancien de son quartier pour prouver qu’il n’avait fait l’objet d’aucune censure grave de la part du consistoire, qu’il avait assisté aux séances de catéchisme et qu’il contribuait aux charges de l’Eglise.
Il le remettait à l’Ancien de service auprès de la Table Sainte, au moment de recevoir le pain et le vin.
La plupart des méreaux étaient en plomb, ou en (...)
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